Au printemps 2021, après une première année difficile de pandémie de Covid-19, nous avons voulu tourner notre regard vers l’avenir en lançant la première Semaine de la Santé durable. Dans le contexte particulier, celle-ci s'est déroulée exclusivement en mode virtuel du 5 au 11 avril 2021 et avait pour thème « On a beaucoup parlé de maladie… Parlons de santé ! ». Il demeure possible de voir ou revoir les différentes rencontres virtuelles, les témoignages d'ambassadrices et d'ambassadeurs de santé durable ainsi que de bonnes raisons de miser sur cette dernière.

Du 4 au 10 avril 2022, la seconde édition de la Semaine de la Santé durable a pour thème "Les Québécois.es au coeur de l'économie".

À défaut d’agir en prévention dès maintenant, nous assisterons à l’augmentation du nombre de cas de maladies à traiter et à une érosion grandissante des finances publiques. Ce gouffre financier en inquiète plusieurs, avec raison, car il pose la question de notre capacité à subvenir aux besoins de nos concitoyens aux prises avec la maladie. Plus important encore : il est surtout possible d’agir dès maintenant !

La refondation du système de soins est sur toutes les lèvres : c'est une urgence nationale. Mais c’est aussi une mission impossible si l’on continue dans la même direction, en misant sur un ministère de la Maladie plutôt que de la Santé. Plusieurs des maladies qui engorgent notre système de soins sont évitables. Imaginez l’impact que cela pourrait avoir si l’on s’attardait davantage aux maladies évitables qui engorgent inutilement notre système de soins par la prévention et la promotion de la santé ! Cette lettre ouverte collective est signée par l'ASPQ, Capsana, Coeur + AVC, le Conseil québécois sur le tabac et la santé (CQTS), M361, la Société canadienne du cancer, ÉquiLibre, La Cantine pour tous, Fondation Champions pour la vie, La Maison de santé Prévention – Approche 180, Le réseau d’action en santé cardiovasculaire, Réseau Accès Participation et le Réseau francophone international pour la promotion de la santé - Réfips, région des Amériques.

Pour restaurer la santé publique il faut notamment y injecter l’argent et les ressources humaines nécessaires; lui donner accès aux données pertinentes pour la santé de la population; et être à l’écoute des citoyens.

L’ASPQ favorise la mobilité active, la biodiversité et la qualité de vie, et appuie le projet de la dalle-parc Turcot, ce pont piétonnier et cyclable qui comporte une abondante végétation.

Un gouvernement de la CAQ entend agir en prévention sur les déterminants de la santé parce que la santé générale des Québécois se dégrade.

Mémoire de l'Association pour la santé publique du Québec dans le cadre des consultations pré-budgétaires.

Mémoire de l'Association pour la santé publique du Québec dans le cadre des consultations pré-budgétaires.

Mémoire de l'Association pour la santé publique du Québec et de la Coalition Poids dans le cadre des consultations publiques sur le développement durable en prévision de la prochaine stratégie de développement durable du gouvernement du Québec

Mémoire de l’Association pour la santé publique du Québec pour les consultations du projet de loi no 64, Loi modernisant des dispositions législatives en matière de protection des renseignements personnels.

Ce sondage vise à : • mesurer à quel point le concept de santé durable est compris par les adultes québécois; • rendre compte de leur condition personnelle en termes de santé et de littératie; • recueillir leurs perceptions entourant la santé et les changements climatiques; • identifier les gestes qu’ils posent pour améliorer leur santé ou pour participer à la lutte contre les changements climatiques; • connaître leur opinion quant aux actions actuelles du gouvernement et celles qu’il devrait prioriser en ce qui a trait à la prévention des maladies, à la lutte contre les changements climatiques et aux inégalités sociales.